Maman pétille
17 Janvier 2019
Je fais partie de ces mamans qui aiment que leur quotidien soit (un minimum) organisé.
Dans un souci économique/écologique/responsable/gustatif/qualitatif… bref, appelez ça comme vous voulez, mais autant que faire se peut nous privilégions le fait-maison à chaque repas. Même si, en toute transparence, on ne crache pas sur une « auto-invitation » à la pizzeria du quartier, ou à l’échoppe asiatique, de temps en temps. « L’auto-invitation », vous ne connaissez pas ? Un concept qui fait fureur à l’échelle euh… bah… de notre domicile en fait, une sorte d’invitation auto-financée, quoi.
Revenons à nos moutons…
Au quotidien, j’adore cuisiner mais soyons honnêtes, avec un papa très occupé professionnellement les mots d’ordre sont rapidité et efficacité.
C’est ainsi que nous avons adopté, il y a quelque temps déjà, la planification des menus à la semaine.
L’idée est très simple. Chaque weekend, nous réalisons ensemble le menu de la semaine suivante. Cracotte prend de plus en plus part à ce temps familial. Chacun y va de sa petite idée, et je me réserve le droit d’arbitrer (le privilège de la détentrice du stylo, non mais) pour préserver ma garde-robe (« Non, on ne mangera pas des pâtes carbo’ à chaque repas ») autant que mon porte-monnaie (« et du foie-gras non plus ») (gosse de riche).
Au départ, je n’étais pas certaine d’arriver à maintenir le rythme sur la durée. Je m’étais bien trompée. Honnêtement, je n’y trouve que des avantages :
- On gagne du temps et de l’argent. On bannit le gaspillage, en recyclant les restes et en anticipant les dates de péremption, mais surtout, on évite la panne d’inspiration (le fameux « qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » de 18h30, les yeux écarquillés, devant un frigo qui ne daigne même pas répondre, quel ingrat).
- On échappe à la récurrence de certains repas (« Lundi des patateuh, mardi des patateuh, mercredi des patates aussiiiiiii »)
- On adapte en fonction de ce que contiennent les réserves et en fonction des disponibilités au cours de la semaine (autrement-dit, on oublie le risotto ce même jeudi où vous avez un rencard à 18h avec le dermatologue pour votre verrue - Hum comme c’est charmant).
- On peut anticiper les courses d’une part, mais aussi la réalisation desdits repas (en préparant en amont la béchamel du prochain gratin ou la pâte brisée pour la quiche prévue le lendemain, en pensant à décongeler le rôti, …). Tout ce qui est fait, n’est plus à faire, comme dirait l’autre. Une belle façon de gagner en temps et en tranquillité d’esprit.
Bref, ce n’est pas révolutionnaire mais j’y trouve mon compte. Honnêtement, je ne suis plus certaine de savoir encore faire sans.
« No prise de tête » doit rester le leitmotiv de cette démarche.
Un imprévu, une invitation de dernière minute, une pulsion soudaine et/ou la flemme (oui, ça arrive aussi)… Pas de panique, rien n’est figé.
Votre menu sert de fil conducteur et peut ne pas être suivi à la lettre.
Le but étant de se faciliter la tâche, et en aucun cas de se rajouter une contrainte supplémentaire.
Pour faire face à ces changements, j’ai pris pour habitude de réserver deux créneaux « souplesse » dans la semaine.
Je vous rassure, on ne mange pas en faisant des abdo-fessiers !! Il s’agit simplement de deux plats non définis :
- une « restes-party »… Autrement-dit un repas où l’on s’accommode des restes des jours précédents. Un déjeuner ou un diner comme au self, où chacun pioche ce qu’il a envie de picorer. L’avantage de ce repas fait de restes est incontestable : chacun y trouve son compte !
- un repas joker, le weekend, dans lequel nous allons faire glisser un plat de la semaine que nous n’aurions pas fait, une invitation de dernière minute, où tout simplement répondre à une envie du moment (les fameuses pâtes carbo’, vous vous souvenez ?).
En parallèle, au fil des saisons, j’ai établi une liste de « plats types ». Des récurrents dans lesquels je peux piocher facilement.
Une fois réalisée, la liste des repas est affichée bien en évidence dans la cuisine (sur le frigo chez nous) et le tour est joué ! L’Homme n’aura ainsi plus d’excuse pour ne pas enfiler son tablier et commencer à préparer le diner s’il rentre plus tôt que vous ! Héhé « pas folle, la guêpe » !
Depuis peu, j’utilise ce joli planning magnétique pour planifier mes menus !
Effaçable, repositionnable à souhait et ultra-canon, avouons que c’est tout de même plus agréable à regarder qu’un rapide tableau griffonné au crayon sur un petit bout de papier, non ?
Alors quand j’ai été contactée par Ludilabel pour tester quelques-uns de leurs produits, je n’ai pas hésité une seconde.
CONCOURS
Comme vous l’aurez compris, ce produit m’a gentiment été offert par Ludilabel (spécialiste français des étiquettes thermocollantes et autocollantes pour vêtements et objets) qui me permet aujourd’hui de vous offrir un « planning-menu » du modèle de votre choix parmi les 4 disponibles sur leur site !
Pour participer au tirage au sort, vous connaissez le principe :
- Abonnez-vous à mon blog et à l’un de mes réseaux (Instagram, Pinterest, Hellocoton).
- Invitez deux amis à participer.
- Foncez sur le site de Ludilabel (ici) et dites-moi en commentaire quel est votre modèle préféré.
- Vous pouvez, si le coeur vous en dit, suivre Ludilabel sur Instagram.
Le tirage au sort sera réalisé le 31 janvier 2019.
(Concours réservé à la France Métropolitaine)
Un grand merci à l’équipe Ludilabel et particulièrement à Emmanuel !
Bonne chance à vous !